Compétences
LA SOPHROLOGIE ANALYTIQUE
La sophrologie analytique en s’appuyant sur les principes de la psychanalyse reprend l’interprétation…le mieux être… pour y apporter la notion…d’être. Autrement dit elle considère l’Homme dans son histoire de vie… de sa conception à aujourd’hui… dans une évolution raisonnée qui permet de soutenir une lutte quotidienne pour supporter l’insupportable.
La sophrologie reste une méthode d’accompagnement thérapeutique qui privilégie toujours la vision entière de la personne celle qui réconcilie le corps, le cœur et l’esprit.
Cette approche propose par le dialogue la remémoration d’expériences douloureuses « de laisser venir l’émotion, celle-ci entraîne respect et légitimité » afin de renouer avec ses valeurs fondamentales sans être dans l’illusion.
« C’est quand l’émotion est niée et non conscientisée que s’enclenche tout un processus inconscient qui maintient l’homme dans un mode de fonctionnement dont les composantes lui échappent. La peur est une des émotions les plus responsables de l’insatisfaction des besoins fondamentaux. Les peurs non entendues sont des émotions qui bloquent l’énergie. »
Colette Portelance, Psychothérapeute
La sophrologie
Qu’il soit question de stress, de dépression, de blessure d’abandon, de répétition de schémas négatifs, de dépendance affective, de violence psychologique, de relation toxique… parler de soi en accueillant les maux « la personne se raconte et se livre peu à peu » c’est sans que l’origine du mal puisse être précis, se libérer de ce poids qui délimite la frontière entre ce droit… d’être… pleinement et ce leurre… l’inconfort… dans son contenu qui se tisse au bord du précipice.
C’est disposer enfin du recul nécessaire pour saisir l’essence même de certains modes de fonctionnement qui ont pour vertu de nous révéler à nous-mêmes.
C’est « sous le filtre de l’émotion » déployer des trésors d’ingéniosité et d’adaptabilité qui agissent en profondeur grâce à l’acceptation de son histoire, la définition de ces nœuds de souffrance afin de se réapproprier des propriétés personnelles.
En prenant conscience de ses ressources et richesses intérieures, l’espoir d’y croire prend une saveur inhabituelle, on touche enfin à l’essentiel.